A Toi-qui-te-reconnaîtra, je veux dire...
Je suis désolé. J'ai fait un choix. Un choix douloureux. Mais il fallait que cela cesse, la situation était trop insoutenable... Et j'avais besoin de m'en sortir. J'avais besoin d'ôter ces doutes, de croire que je comptais.
Je suis désolé... J'ai succombé.
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EnAbyme
L'Espace d'une vie
Dimanche 7 mars 2010 à 19:11
Simple manque de cran. Usurper l'idée défendue n'est cependant plus immoral. Inévitablement, c'est cherchant à m'en défendre que je m'en rapproche toujours plus. C'est une photo que l'on déchire, c'est un miroir qui se brise. Inutile. Douloureux. Epithème à la dégradation, qu'il est impossible d'assumer.
Les mots n'ont plus assez de nuances pour exprimer la haine... Mais même consumés, ils entretiennent encore la honte.
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Mardi 16 février 2010 à 2:51
La technique du « tu tombes, tu te relèves » s'est heurtée à quelque difficulté en pratique. J'obtiens plutôt ce genre de résultats : « tu tombes, tu tombes », voire « tu tombes, tu t'écrases (comme une vieille m****) ». A tout peser... Couper les ponts n'est-elle pas la solution ?
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Samedi 2 janvier 2010 à 2:51
Vous vous enfermez dans vos rêves et dans l'inaction.
Admettons. Admettons que cette année ait été un tournant. Admettons le présent comme closant un passé désormais révolu... (J'aimerais retourner dans le passé. Modifier mes choix. Un peu près dans tous les domaines. Et voir). Je ne suis pas malheureux mais je ne reconnais rien. (Quelle tristesse d'être à ce point dans l'expectative, sans même savoir ce qu'on cherche...). Il faut laisser le temps au temps, encore....
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Samedi 11 juillet 2009 à 12:37
Les rapports à la vie changent. Une perçante analyse de quelqu’un ou de quelque chose permet de comprendre et d’agir (ou pas). L’artiste est celui qui se laisse porter par ses sens : il subit, puis il transcrit. Pourquoi ce mal de tête ? Je n’arrive pas à faire une perçante analyse de moi-même ; j’ai l’impression de me détruire. Il arrive qu’une douleur, qui affecte, appelle l’amputation d’une idée, d’un rêve. Plus tard, on dit qu’une solution moins...
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Dimanche 8 février 2009 à 23:00